| Louis Figuier, Émile Gautier - 1892 - 648 pagina’s
...donner l'illusion de la nuit. Le chant des canotiers devient mélancolique à leur insu. xxxv. — 24 La tristesse du ciel oppresse comme Une maladie de...en coups de foudre, serrée, et qui fait mal. Plus de lit de rivière, plus de surface liquide sur laquelle glisse le canot, plus de rives, plus de forêt,... | |
| Henri Anatole Coudreau - 1895 - 642 pagina’s
...devient mélancolique à leur insu. La tristesse du ciel oppresse comme une maladie de cœur. Voici venir le grain furieux, l'averse d'hiver qui remonte la...en coups de foudre, serrée, et qui fait mal. Plus de lit de rivière, plus de surface liquide sur laquelle glisse le canot, plus de rives, plus de forêt,... | |
| Louis François Didier - 1898 - 584 pagina’s
...note dominante, c'est l'averse. Voici que tout à coup la demi-obscurité de ces jours nébuleux va jusqu'à donner l'illusion de la nuit. Le chant des...en coups de foudre, serrée, et qui fait mal. Plus de lit de rivière, plus de surface liquide sur laquelle glisse le canot, plus de riv> plus de forêts,... | |
| Stanislas Meunier - 1921 - 354 pagina’s
...grain furieux, l'averse d'hiver qui remonte la rivière. C'est un nuage gris, terne, énorme, compacte, pesant, engouffré dans le creux des rives qu'il déborde,...marche de cyclone, la puissante masse, qui remplit coinplètementleciel, crible l'opacité ambiante d'une pluie en coups de foudre, serrée, qui fait... | |
| 1892 - 692 pagina’s
...maladie de cœur. C'est le grain furieux, l'averse d'hiver qui remonte la rivière. C'est un nuagd gris, terne, énorme, compact, pesant, engouffré...en coups de foudre, serrée, et qui fait mal. Plus de lit de rivière, plus de surface liquide sur laquelle glisse le canot, plus de rives, plus de forêt,... | |
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