William Cowper: sa correspondance et ses poésiesSandoz & Fischbacher, 1874 - 437 sider |
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Side 5
... jour de tes funérailles ; je vis le corbillard t'emporter lentement au loin , et quittant la fenêtre de ma chambre d'enfant ― je poussai un long , bien long soupir , et pleurai un dernier 1 adieu . 1 » Le premier effet de la mort de sa ...
... jour de tes funérailles ; je vis le corbillard t'emporter lentement au loin , et quittant la fenêtre de ma chambre d'enfant ― je poussai un long , bien long soupir , et pleurai un dernier 1 adieu . 1 » Le premier effet de la mort de sa ...
Side 6
... jour devait venir où , maître de son talent et de son public , le poète vengerait l'en- fant , en dénonçant dans le Tirocinium , les dan- gers de l'éducation publique . Cependant des taches avaient paru sur ses yeux qui restèrent ...
... jour devait venir où , maître de son talent et de son public , le poète vengerait l'en- fant , en dénonçant dans le Tirocinium , les dan- gers de l'éducation publique . Cependant des taches avaient paru sur ses yeux qui restèrent ...
Side 8
... jour , comme au prophète , de bénir ce qu'il était venu maudire . C'est à cette heureuse contradiction que nous devons ces vers char- mants . - <<< Faiblesse si l'on veut , c'est une faiblesse louable que d'aimer les lieux qui virent ...
... jour , comme au prophète , de bénir ce qu'il était venu maudire . C'est à cette heureuse contradiction que nous devons ces vers char- mants . - <<< Faiblesse si l'on veut , c'est une faiblesse louable que d'aimer les lieux qui virent ...
Side 9
... jour.1 » Tout en faisant la part des illusions rétrospec- tives , et malgré quelques boutades moroses épar- ses dans sa correspondance , on peut conclure de ce passage , que Cowper ne fut pas trop malheu- reux à Westminster . Il en ...
... jour.1 » Tout en faisant la part des illusions rétrospec- tives , et malgré quelques boutades moroses épar- ses dans sa correspondance , on peut conclure de ce passage , que Cowper ne fut pas trop malheu- reux à Westminster . Il en ...
Side 15
... jour j'étais à la torture , me couchant dans l'horreur , me levant dans le dé- sespoir . Je perdis aussitôt toute espèce de goût pour les études qui m'avaient attaché aupara- vant ; les classiques n'eurent plus aucun charme pour moi ...
... jour j'étais à la torture , me couchant dans l'horreur , me levant dans le dé- sespoir . Je perdis aussitôt toute espèce de goût pour les études qui m'avaient attaché aupara- vant ; les classiques n'eurent plus aucun charme pour moi ...
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Side 247 - He looks abroad into the varied field Of nature, and, though poor perhaps, compared With those whose mansions glitter in his sight, Calls the delightful scenery all his own. His are the mountains, and the valleys his, And the resplendent rivers. His to enjoy With a propriety that none can feel, But who, with filial confidence inspired, Can lift to heaven an unpresumptuous eye, And smiling say — " My Father made them all 1
Side 167 - Said Gilpin — So am I ! But yet his horse was not a whit Inclined to tarry there ; For why? — his owner had a house Full ten miles off, at Ware. So like an arrow swift he flew, Shot by an archer strong ; So did he fly — which brings me to The middle of my song. Away went Gilpin out of breath, And sore against his will, Till at his friend the calender's His horse at last stood still.
Side 5 - Say, wast thou conscious of the tears I shed ? Hover'd thy spirit o'er thy sorrowing son, Wretch even then, life's journey just begun? Perhaps thou gav'st me, though unfelt, a kiss, Perhaps a tear, if souls can weep in bliss — Ah, that maternal smile ! it answers — Yes.
Side 172 - But not performing what he meant, And gladly would have done, The frighted steed he frighted more, And made him faster run. Away went Gilpin, and away Went post-boy at his heels, The post-boy's horse right glad to miss The lumbering of the wheels.
Side 209 - As human nature's broadest, foulest blot, Chains him, and tasks him, and exacts his sweat With stripes, that mercy, with a bleeding heart, Weeps when she sees inflicted on a beast. Then what is man ? And what man, seeing this, And having human feelings, does not blush And hang his head, to think himself a man...
Side 160 - For saddletree scarce reached had he, His journey to begin, When, turning round his head, he saw Three customers come in. So down he came ; for loss of time, Although it grieved him sore, Yet loss of pence, full well he knew, Would trouble him much more.
Side 159 - He soon replied, I do admire Of womankind but one, And you are she, my dearest dear, Therefore it shall be done. I am a linendraper bold, As all the world doth know, And my good friend the calender Will lend his horse to go.
Side 165 - Twas wonderful to view, How in a trice the turnpike men Their gates wide open threw.
Side 215 - Nor less composure' waits upon the roar Of distant floods, or on the softer voice Of neighb'ring fountain, or of rills that slip Through the cleft rock, and, chiming as they fall Upon loose pebbles, lose themselves at length In matted grass, that with a, livelier green Betrays the secret of their silent course.
Side 210 - Slaves cannot breathe in England ; if their lungs Receive our air, that moment they are free ; They touch our country, and their shackles fall.