William Cowper: sa correspondance et ses poésiesSandoz & Fischbacher, 1874 - 437 sider |
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... lettres , les plus familières et les plus simples qui furent jamais écrites , ont pris place aussitôt dans la bibliothèque des chefs - d'œuvre classiques de la prose anglaise . Enfin , le douloureux mystère de la folie entoure cet ...
... lettres , les plus familières et les plus simples qui furent jamais écrites , ont pris place aussitôt dans la bibliothèque des chefs - d'œuvre classiques de la prose anglaise . Enfin , le douloureux mystère de la folie entoure cet ...
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... lettres et les poésies de William Cowper , depuis Hayley , l'ami de ses derniers jours , jusqu'à Southey , son bio- graphe le plus autorisé ; et l'on s'est souvent ré- pété qu'après tout le plus court moyen de faire apprécier l'homme et ...
... lettres et les poésies de William Cowper , depuis Hayley , l'ami de ses derniers jours , jusqu'à Southey , son bio- graphe le plus autorisé ; et l'on s'est souvent ré- pété qu'après tout le plus court moyen de faire apprécier l'homme et ...
Side 16
... lettres , Joseph Hill . Il en est un autre qui tient une certaine place dans la politique de cette époque , c'est Thurlow , destiné à s'asseoir sur le sac de laine , à qui Cowper disait un soir en présence de quelques dames , tout en ...
... lettres , Joseph Hill . Il en est un autre qui tient une certaine place dans la politique de cette époque , c'est Thurlow , destiné à s'asseoir sur le sac de laine , à qui Cowper disait un soir en présence de quelques dames , tout en ...
Side 43
... rigée dans la prochaine édition . 1 » Toutes ses lettres , à cette époque , n'étaient pour- 1 SOUTHEY . Life and Works of W. Cowper . Tome II , page 183 , tant pas sur le même ton . On pourrait en COWPER A HUNTINGDON 43.
... rigée dans la prochaine édition . 1 » Toutes ses lettres , à cette époque , n'étaient pour- 1 SOUTHEY . Life and Works of W. Cowper . Tome II , page 183 , tant pas sur le même ton . On pourrait en COWPER A HUNTINGDON 43.
Side 44
... lettres familières . C'est qu'il lui arrivait ce qui arrive parfois aux néo- phytes : il prêchait « en temps et hors de temps , >> hors de temps surtout . Il se croyait touché de la grâce , converti ( c'était pour la seconde fois ; ce ...
... lettres familières . C'est qu'il lui arrivait ce qui arrive parfois aux néo- phytes : il prêchait « en temps et hors de temps , >> hors de temps surtout . Il se croyait touché de la grâce , converti ( c'était pour la seconde fois ; ce ...
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Side 247 - He looks abroad into the varied field Of nature, and, though poor perhaps, compared With those whose mansions glitter in his sight, Calls the delightful scenery all his own. His are the mountains, and the valleys his, And the resplendent rivers. His to enjoy With a propriety that none can feel, But who, with filial confidence inspired, Can lift to heaven an unpresumptuous eye, And smiling say — " My Father made them all 1
Side 167 - Said Gilpin — So am I ! But yet his horse was not a whit Inclined to tarry there ; For why? — his owner had a house Full ten miles off, at Ware. So like an arrow swift he flew, Shot by an archer strong ; So did he fly — which brings me to The middle of my song. Away went Gilpin out of breath, And sore against his will, Till at his friend the calender's His horse at last stood still.
Side 5 - Say, wast thou conscious of the tears I shed ? Hover'd thy spirit o'er thy sorrowing son, Wretch even then, life's journey just begun? Perhaps thou gav'st me, though unfelt, a kiss, Perhaps a tear, if souls can weep in bliss — Ah, that maternal smile ! it answers — Yes.
Side 172 - But not performing what he meant, And gladly would have done, The frighted steed he frighted more, And made him faster run. Away went Gilpin, and away Went post-boy at his heels, The post-boy's horse right glad to miss The lumbering of the wheels.
Side 209 - As human nature's broadest, foulest blot, Chains him, and tasks him, and exacts his sweat With stripes, that mercy, with a bleeding heart, Weeps when she sees inflicted on a beast. Then what is man ? And what man, seeing this, And having human feelings, does not blush And hang his head, to think himself a man...
Side 160 - For saddletree scarce reached had he, His journey to begin, When, turning round his head, he saw Three customers come in. So down he came ; for loss of time, Although it grieved him sore, Yet loss of pence, full well he knew, Would trouble him much more.
Side 159 - He soon replied, I do admire Of womankind but one, And you are she, my dearest dear, Therefore it shall be done. I am a linendraper bold, As all the world doth know, And my good friend the calender Will lend his horse to go.
Side 165 - Twas wonderful to view, How in a trice the turnpike men Their gates wide open threw.
Side 215 - Nor less composure' waits upon the roar Of distant floods, or on the softer voice Of neighb'ring fountain, or of rills that slip Through the cleft rock, and, chiming as they fall Upon loose pebbles, lose themselves at length In matted grass, that with a, livelier green Betrays the secret of their silent course.
Side 210 - Slaves cannot breathe in England ; if their lungs Receive our air, that moment they are free ; They touch our country, and their shackles fall.