William Cowper: sa correspondance et ses poésiesSandoz & Fischbacher, 1874 - 437 sider |
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... pendant trois ans sous son toit ; mais je vivais , c'est à savoir , je passais mes journées dans Southampton Row , comme bien vous vous en souvenez . Nous y étions , moi et le futur chance- lier , constamment occupés , du matin au soir ...
... pendant trois ans sous son toit ; mais je vivais , c'est à savoir , je passais mes journées dans Southampton Row , comme bien vous vous en souvenez . Nous y étions , moi et le futur chance- lier , constamment occupés , du matin au soir ...
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... pendant un certain temps ; puis à voyager ; mais au retour , il brûla ses prières , et toute sa dévo- tion s'en alla . Il reprit alors la vie indolente et facile que lui faisaient son patrimoine , l'attente de quelque emploi public ...
... pendant un certain temps ; puis à voyager ; mais au retour , il brûla ses prières , et toute sa dévo- tion s'en alla . Il reprit alors la vie indolente et facile que lui faisaient son patrimoine , l'attente de quelque emploi public ...
Side 21
... 'horreur de ma position ; les autres ne le peuvent pas . Cet état de souffrance continuelle finit par me causer une fièvre nerveuse : plus de tranquillité pendant le jour , pendant la nuit plus de COWPER AU TEMPLE 21.
... 'horreur de ma position ; les autres ne le peuvent pas . Cet état de souffrance continuelle finit par me causer une fièvre nerveuse : plus de tranquillité pendant le jour , pendant la nuit plus de COWPER AU TEMPLE 21.
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sa correspondance et ses poésies Léon Boucher. tranquillité pendant le jour , pendant la nuit plus de repos ; un doigt levé contre moi , c'en était plus que je ne pouvais supporter . Voilà ce que je res- sentais moralement tout en ...
sa correspondance et ses poésies Léon Boucher. tranquillité pendant le jour , pendant la nuit plus de repos ; un doigt levé contre moi , c'en était plus que je ne pouvais supporter . Voilà ce que je res- sentais moralement tout en ...
Side 23
... pendant plus de six mois de suite . >> On peut mettre en regard de cette page doulou- reuse une lettre antérieure au Mémoire et qui en confirme sur ce point l'exactitude . Elle est adres- sée à la cousine de Cowper , Lady Hesketh , sœur ...
... pendant plus de six mois de suite . >> On peut mettre en regard de cette page doulou- reuse une lettre antérieure au Mémoire et qui en confirme sur ce point l'exactitude . Elle est adres- sée à la cousine de Cowper , Lady Hesketh , sœur ...
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Side 247 - He looks abroad into the varied field Of nature, and, though poor perhaps, compared With those whose mansions glitter in his sight, Calls the delightful scenery all his own. His are the mountains, and the valleys his, And the resplendent rivers. His to enjoy With a propriety that none can feel, But who, with filial confidence inspired, Can lift to heaven an unpresumptuous eye, And smiling say — " My Father made them all 1
Side 167 - Said Gilpin — So am I ! But yet his horse was not a whit Inclined to tarry there ; For why? — his owner had a house Full ten miles off, at Ware. So like an arrow swift he flew, Shot by an archer strong ; So did he fly — which brings me to The middle of my song. Away went Gilpin out of breath, And sore against his will, Till at his friend the calender's His horse at last stood still.
Side 5 - Say, wast thou conscious of the tears I shed ? Hover'd thy spirit o'er thy sorrowing son, Wretch even then, life's journey just begun? Perhaps thou gav'st me, though unfelt, a kiss, Perhaps a tear, if souls can weep in bliss — Ah, that maternal smile ! it answers — Yes.
Side 172 - But not performing what he meant, And gladly would have done, The frighted steed he frighted more, And made him faster run. Away went Gilpin, and away Went post-boy at his heels, The post-boy's horse right glad to miss The lumbering of the wheels.
Side 209 - As human nature's broadest, foulest blot, Chains him, and tasks him, and exacts his sweat With stripes, that mercy, with a bleeding heart, Weeps when she sees inflicted on a beast. Then what is man ? And what man, seeing this, And having human feelings, does not blush And hang his head, to think himself a man...
Side 160 - For saddletree scarce reached had he, His journey to begin, When, turning round his head, he saw Three customers come in. So down he came ; for loss of time, Although it grieved him sore, Yet loss of pence, full well he knew, Would trouble him much more.
Side 159 - He soon replied, I do admire Of womankind but one, And you are she, my dearest dear, Therefore it shall be done. I am a linendraper bold, As all the world doth know, And my good friend the calender Will lend his horse to go.
Side 165 - Twas wonderful to view, How in a trice the turnpike men Their gates wide open threw.
Side 215 - Nor less composure' waits upon the roar Of distant floods, or on the softer voice Of neighb'ring fountain, or of rills that slip Through the cleft rock, and, chiming as they fall Upon loose pebbles, lose themselves at length In matted grass, that with a, livelier green Betrays the secret of their silent course.
Side 210 - Slaves cannot breathe in England ; if their lungs Receive our air, that moment they are free ; They touch our country, and their shackles fall.