William Cowper: sa correspondance et ses poésiesSandoz & Fischbacher, 1874 - 437 sider |
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... reste . C'était dès lors un adolescent aimable et doux , mais dont les pensées prenaient facilement un tour grave peu commun à cet âge . Les formes et les pratiques extérieures du culte ne lui suffisaient pas ; il s'essayait à prier en ...
... reste . C'était dès lors un adolescent aimable et doux , mais dont les pensées prenaient facilement un tour grave peu commun à cet âge . Les formes et les pratiques extérieures du culte ne lui suffisaient pas ; il s'essayait à prier en ...
Side 8
... reste insensible à cette vue- est un cœur de pierre que rien ne saurait émou- voir . Le mur où notre habileté de ciseleur s'essaya ; le nom même que nous gravâmes et qui subsiste encore , le banc sur lequel nous nous asseyions ...
... reste insensible à cette vue- est un cœur de pierre que rien ne saurait émou- voir . Le mur où notre habileté de ciseleur s'essaya ; le nom même que nous gravâmes et qui subsiste encore , le banc sur lequel nous nous asseyions ...
Side 18
... reste . Cowper avait trente - deux ans ; la petite fortune qu'il tenait de son père , mort en 1756 , avait à peu près fondu entre ses mains sans qu'il s'en fût aper- çu . L'inquiétude de l'avenir commençait à l'as- saillir , et il ...
... reste . Cowper avait trente - deux ans ; la petite fortune qu'il tenait de son père , mort en 1756 , avait à peu près fondu entre ses mains sans qu'il s'en fût aper- çu . L'inquiétude de l'avenir commençait à l'as- saillir , et il ...
Side 45
... reste , avec la vie retirée qu'il se proposait de me ner désormais et dont ses amis ne le détour- naient plus . Les espérances d'avenir que ses ta- lents et ses relations avaient fait concevoir , s'é- taient évanouies pour ne plus ...
... reste , avec la vie retirée qu'il se proposait de me ner désormais et dont ses amis ne le détour- naient plus . Les espérances d'avenir que ses ta- lents et ses relations avaient fait concevoir , s'é- taient évanouies pour ne plus ...
Side 46
... reste de la famille . Ils ne voient presque personne , ce qui me va parfaitement . A quelque moment qu'il me plaise d'y aller , je trouve une maison pleine partout de paix et de cordialité , et je suis sûr de n'y entendre parler , au ...
... reste de la famille . Ils ne voient presque personne , ce qui me va parfaitement . A quelque moment qu'il me plaise d'y aller , je trouve une maison pleine partout de paix et de cordialité , et je suis sûr de n'y entendre parler , au ...
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Side 247 - He looks abroad into the varied field Of nature, and, though poor perhaps, compared With those whose mansions glitter in his sight, Calls the delightful scenery all his own. His are the mountains, and the valleys his, And the resplendent rivers. His to enjoy With a propriety that none can feel, But who, with filial confidence inspired, Can lift to heaven an unpresumptuous eye, And smiling say — " My Father made them all 1
Side 167 - Said Gilpin — So am I ! But yet his horse was not a whit Inclined to tarry there ; For why? — his owner had a house Full ten miles off, at Ware. So like an arrow swift he flew, Shot by an archer strong ; So did he fly — which brings me to The middle of my song. Away went Gilpin out of breath, And sore against his will, Till at his friend the calender's His horse at last stood still.
Side 5 - Say, wast thou conscious of the tears I shed ? Hover'd thy spirit o'er thy sorrowing son, Wretch even then, life's journey just begun? Perhaps thou gav'st me, though unfelt, a kiss, Perhaps a tear, if souls can weep in bliss — Ah, that maternal smile ! it answers — Yes.
Side 172 - But not performing what he meant, And gladly would have done, The frighted steed he frighted more, And made him faster run. Away went Gilpin, and away Went post-boy at his heels, The post-boy's horse right glad to miss The lumbering of the wheels.
Side 209 - As human nature's broadest, foulest blot, Chains him, and tasks him, and exacts his sweat With stripes, that mercy, with a bleeding heart, Weeps when she sees inflicted on a beast. Then what is man ? And what man, seeing this, And having human feelings, does not blush And hang his head, to think himself a man...
Side 160 - For saddletree scarce reached had he, His journey to begin, When, turning round his head, he saw Three customers come in. So down he came ; for loss of time, Although it grieved him sore, Yet loss of pence, full well he knew, Would trouble him much more.
Side 159 - He soon replied, I do admire Of womankind but one, And you are she, my dearest dear, Therefore it shall be done. I am a linendraper bold, As all the world doth know, And my good friend the calender Will lend his horse to go.
Side 165 - Twas wonderful to view, How in a trice the turnpike men Their gates wide open threw.
Side 215 - Nor less composure' waits upon the roar Of distant floods, or on the softer voice Of neighb'ring fountain, or of rills that slip Through the cleft rock, and, chiming as they fall Upon loose pebbles, lose themselves at length In matted grass, that with a, livelier green Betrays the secret of their silent course.
Side 210 - Slaves cannot breathe in England ; if their lungs Receive our air, that moment they are free ; They touch our country, and their shackles fall.