Historical DocumentsDawson, 1873 |
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Acadiens Amherst Anglois armée attaquer auroit avoient avoit ayant Baie bâtiments batterie Beauséjour Bigot bled Bourlamarque Cadet camp campagne Canada Canadiens canon Capitaine capitulation Carillon Chevalier de Lévis Chouaguen Cinq Nations Colonie Commandant commandoit commerce côté défense détachement devoient devoit Dieskau donna donnoit écrivit endroit enfin ennemis envoya étoient étoit faisoient faisoit falloit firent Fort Duquesne Fort Lawrence fortifier François Frontenac Galissonière Garde-magasin garnison Général Anglois Gouvernement Gouverneur guerre habitans habitants hommes Iroquois Jacques Cartier Jésuites Jonquière l'Abbé de Laloutre l'armée l'ennemi l'Intendant l'Isle aux Noix Lac Ontario laissa Louisbourg magasins marchandises Marine Marquis de Vaudreuil Marquis Duquesne milices Miramichi Montcalm Montréal Munitionnaire munitions Murray n'avoient n'avoit n'étoient n'étoit Niagara nommé Officier Onnontagués ordonna ordre paroisse pays d'en haut Péan postes Pouchot pourroit pouvoient pouvoit Présentation prisonniers Québec reste retranchemens retranchements Rigaud rivière St Sauvages secours seroit seulement siège sorte terrein vaisseaux Vauclain Vergor vivres vouloit Wolfe
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Side 56 - ... la médiocre, bien fait, et avait de l'esprit; il était fier et hautain et ne souffrait pas qu'on manquât impunément à ses ordres; sa fierté néanmoins cédait au sexe, dont il se fit aimer, mais on ne s'est point aperçu que l'amour lui eût fait faire des fautes considérables; comme il avait peu de bien, il chercha à s'en procurer; mais ce ne fut jamais par des voies criantes; son mérite ne fut connu et on ne le regretta que lorsque son successeur eût fait assez de fautes pour faire...
Side 78 - Anglaise supérieure aux forces françaises, ils n'osaient ni agir ni parler ; d'ailleurs que ne les mettait-on aux prises avec l'ennemi ? ils se seraient peut-être, dès ce temps, familiarisés avec la guerre; les suppliants se sont retirés à Miramichi au nombre de 3,500, parce qu'ils pensent que c'est le seul endroit où les familles peuvent plus facilement se rassembler, et où ils vivront avec plus de commodité par rapport à la pêche ; c'est...
Side 66 - Ces deux personnes mirent en combustion tout le commerce de Montréal ; ils s'emparèrent de tout — équipèrent des canots, et ne laissèrent que ce que le Général et l'Intendant s'étoient réservé, et où néanmoins ils avoient quelques parts, par les égards et les aiénagemens qu'ils devoient avoir pour le Commissaire.
Side 64 - L'intendant envoyait tous les ans à la cour l'état de ce qui était nécessaire pour l'année suivante: il pouvait diminuer à son gré la quantité à demander, qui d'ailleurs, par les circonstances, n'était jamais suffisante, et que souvent on amoindrissait. Ce magasin se trouvait justement fourni de ce qui manquait à celui du roi; alors on n'avait plus recours, comme auparavant, aux négociants, et par là, on les réduisit à un simple détail. On trouva encore le moyen de fournir plusieurs...
Side 181 - Anglais le prévinrent; ce fut alors que lui et son second, rappelant toutes leurs forces, et le courage qui leur avoit fait faire de grandes actions, combattirent de nouveau ; M.
Side 40 - Profitez de votre place; taillez et rognez, — vous avez tout pouvoir, — afin que vous puissiez bientôt venir me joindre en France et acheter un bien à portée de moi.
Side 160 - Lorette dont le lieu était à portée de ce poste; ils lui demandèrent permission d'aller travailler la nuit chez eux : il la leur accorda ; (on prétend que ce fut à condition d'aller aussi travailler pour lui sur une terre qu'il avait dans cette paroisse). M. Wolfe, averti à temps de la mauvaise garde de ce poste et du commandant à qui il avait affaire, disposa ses troupes.
Side 101 - ... Michillimakinac). Ce dernier était fils de la femme de M. de Vaudreuil; il n'était ni brave ni spirituel. Son beaupère l'envoya commandant de ce poste, pour y faire sa fortune. Il la voulut faire si vite qu'il fit un jour un certificat de dix mille livres pour dix livres, et ayant su qu'il avait été acquitté, il continua sur le même pied, de sorte qu'en peu de temps il se trouva aussi avancé que ceux qui travaillaient depuis plusieurs années.
Side 62 - Comme il étoit d'un esprit vif et pénétrant, il profita beaucoup, et entra fort jeune au Secrétariat de M. Hocquart, lors Intendant. M. Bigot, qui l'y trouva, l'a toujours conservé, et le fit faire, non sans peine, écrivain de la Marine; et comme il étoit laborieux et d'un caractère rampant, lui accorda bientôt sa confiance, et ne vit et n'agit que par lui: mais cette homme étoit vain, ambitieux, insupportable par ses hauteurs, et surtout avoit une envie si démesurée d'amasser de grands...
Side 160 - On avait consigné à cet officier de laisser passer des bateaux chargés de vivres qui devaient entrer dans Québec, en se coulant le long du cap. Ce capitaine avait avec lui beaucoup d'habitants de Lorette dont le lieu était à portée de ce poste; ils lui demandèrent permission d'aller travailler la nuit chez eux : il la leur accorda ; (on prétend que ce fut à condition d'aller aussi travailler pour lui sur une terre qu'il avait dans cette paroisse).