Sidebilder
PDF
ePub

DANEMARK

M. MÜNTER, Çapitaine de vaisseau en retraite de la Marine danoise.

ESPAGNE

Copenhague.

M. le Marquis DE BERRIZ, Sénateur, Président de la Compagnie de Navigation Aznar.

FRANCE

Bilbao

M. E. VOISIN, Capitaine au Long cours, Chef d'armement de la Maison Bordes.

Paris.

GRANDE-BRETAGNE

MM. ATKINS, Président du Lloyd's Committee.

Londres.

Lord BRASSEY, K. C. B.

Londres.

Sir T. G. CARVER, Barrister at Law, King's Counsel.

Londres.

GRAY HILL, Sollicitor.

Liverpool.

THOMAS LONGHURST, Correspondant de l'Economist et de la Shipping Gazette.

CHARLES STUBBS, L. L. D. Barrister at Law.

Paris. Londres.

ITALIE

MM. Le Comm. FIORITO, Directeur de la Marine Marchande italienne.
Rome.

Le Commandant GAETANO LIMO, Secrétaire général de la Ligue Na-
vale Italienne.
Spezia.
Le Cher FED. VACCARO, Président de l'Association Maritime
Italienne.

Gênes.

NORVÈGE

MM. ROLF ANDVORD, Consul de Belgique, Directeur de la Compagnie. de Navigation Ostlandike Lloyd.

OPPEN, Armateur,

Christiania.
Laurvigs.

GABRIEL SMITH, Directeur général des Travaux Maritimes Publics (Service des Ports).

Christiania.

PAYS-BAS

M. DEKING-DURA, Ingénieur en chef de la province d'Ovenyopel.

Zvolle.

PORTUGAL

M. ANTONIO PEREIRA DE MATTOS, Lieutenant de vaisseau, Secrétaire perpétuel de la Ligue Maritime Portugaise. Lisbonne.

RUSSIE

M. V. E. DE TIMONOFF, Membre du Conseil de la Marine Marchande au Ministère des Finances, Directeur des Voies de Communication de la région de Saint-Pétersbourg.

SUÈDE

MM. ADOLPHE DE BERENCREUTZ, Chambellan, Consul général de Suède et Norvège.

le Dr PHILIP LEMAN, Avocat.

Copenhague.
Goteborg.

GUSTAF NORDLING, Consul général de Suède et Norvège. Paris. Capit. WALLENBERG, Armateur, Membre de la Diète. Stockholm. Quinze pays seulement sont représentés jusqu'à présent dans le sein de la Commission bien que nous ayions des adhésions de vingt pays différents. Nous verrons certainement ce nombre s'accroître rapidement. quand les adhésions des pays éloignés nous parviendront en nombre. L'Association étant ouverte à tous ceux qui, justifiant de leur communauté d'intérêts, feront appel à elle, tous les intéressés auront à cœur, nous n'en doutons pas, de venir nous aider de leur appui et de leurs conseils.

La situation financière de l'Association est donc plutôt prospère. Il y a lieu d'espérer qu'elle continuera à s'améliorer et que ses ressources, grâce aux adhésions nouvelles qui ne manqueront pas de se produire, continueront à s'accroître dans les mêmes proportions d'ici à la fin de l'année.

Nous comptons beaucoup, pour arriver à ce résultat, sur le zèle et le dévouement de nos adhérents actuels, aidés par leurs gracieuses compagnes et par toutes les femmes de cœur qui savent encourager les œuvres philanthropiques.

L'Association a besoin, en effet, d'avoir à sa disposition des ressources pécuniaires suffisantes pour pouvoir poursuivre jusqu'au bout l'œuvre. de propagande entreprise. Elle doit faire face à de grands frais d'impression et d'envoi de circulaires, dans toutes les parties du monde. Le rôle qu'elle a assume ne saurait donc être réellement efficace qu'à la seule condition de disposer de puissants moyens d'action.

Il nous est permis d'espérer, dès aujourd'hui, de voir notre Association devenir, à bref délai, le centre et le point de ralliement où convergeront toutes les collectivités maritimes, (Associations, Chambres de Commerce, Compagnies, Sociétés, etc) disséminées à la surface du globe. L'Associa

tion Internationale de la Marine est tout indiquée pour centraliser les vœux et desiderata du monde maritime, les étudier et en préparer l'adoption par les pouvoirs publics, en attendant l'organisation d'une Union Maritime Internationale et d'un Bureau Maritime International Permanent.

M. Charles-Roux: Ainsi que vous le voyez, Messieurs, nous nous sommes appliqués à réduire, autant que possible, ce qu'on appelle les frais généraux; et toutes les personnes qui veulent bien nous prêter leur concours le font à titre absolument gracieux. Sauf les employés proprement dits, personne n'est rétribué. De cette sorte, les sommes que nous récoltons sont employées uniquement pour

notre œuvre.

Mesdames, Messieurs,

Nous avons terminé ce matin la série de nos séances de travaux proprement dits. Il faut que je vous rende compte, dans cette séance, de l'ensemble de nos délibérations et que je communique à l'Assemblée les vœux qui ont été votés.

Ainsi que vous l'avez vu par le programme qui vous a été remis, les questions se sont divisées en :

A. Maison du marin.

I Assistance aux gens de mer.

B. Sous quelle forme pourrait-on organiser des maisons de marins internationales?

[blocks in formation]

A. Assistance des aéronautes par les marins et des marins par les aéronautes. L'ancre flottante et ses applications.

Application des déviateurs aéronautiques aux cerfs-volants et ballons divers de sauvetage.

B. Le filage de l'huile et les moyens d'en obtenir l'emploi.

V

Unification internationale de l'éclairage et du balisage des côtes.

[blocks in formation]
[blocks in formation]

Télégraphie et Téléphonie sans fil, aérienne et sous-marine.

VIII

VII Poste maritime par pigeons voyageurs.

Influence du yachting sur le développement de la

puissance maritime d'un pays.

Concours donné par la marine marchande à la marine de l'Etat et réciproquement.

[blocks in formation]

Je ne reprendrai pas les discussions qui ont eu lieu à l'occasion de chacune de ces questions, je me bornerai à lire les résolutions qui ont été prises par le Congrès.

RÉSOLUTIONS

Le premier vou, relatif aux questions d'Assistance aux marins, et émis sous les plus gracieux auspices, puisqu'il était la conclusion d'un rapport de Mme Cardozo de Bethencourt, a été le suivant :

Que les gouvernements, villes, corporations, syndicats d'armateurs et grandes Compagnies de navigation facilitent par des subventions l'établissement et le fonctionnement, par les soins de l'initiative privée, de Maisons de marins, dans tous les ports de commerce importants du monde entier;

Que chaque Maison de marins accueille non-seulement les marins de sa nation, mais encore, autant que les ressources disponibles le permettront, les marins ressortissant à des nations qui n'ont pas d'établissement semblable dans le port;

Que dans l'organisation matérielle et le fonctionnement de chaque établissement, on se préoccupe de prendre les mesures nécessaires pour que les sentiments intimes des marins n'éprouvent aucun froissement qui soit ae nature à les détourner de rechercher l'hospitalité de la maison.

Comme complément à ce vou, il en a été émis un second relatif aux Maisons pour les vieux marins et aux Asiles pour les enfants de marins, sur la proposition de M. Grandval. Voici ce vœu :

Le Congrès, approuvant pleinement la fondation de l'Association de secours aux gens de mer de la Méditerranée, émet le vœu :

Que les gouvernements facilitent, par tous les moyens en leur pouvoir, le développement de semblables institutions, notamment en leur accordant les autorisations nécessaires, et la reconnaissance d'utilité publique.

Après cette question spéciale, venait celle de l'Obligation de secours en mer, et voici comment a été formulé ce vœu un peu délicat :

Que le capitaine, sollicité de prêter assistance à un bâtiment en détresse, devra, sous peine des rigueurs de sa loi nationale, lui porter toute l'aide compatible avec la sûreté de son propre bâtiment.

M. Bénard a proposé ensuite le vœu suivant :

Que des cartes lithologiques indiquant avec précision la nature des fonds, conformément à la méthode Thoulet, soient levées le plus tôt possible par les ingénieurs hydrographes, sur toutes les côtes fréquentées par la navigation et par la pêche.

« ForrigeFortsett »