Œuvres complètes de Lamartine: Histoire de la restaurationL'auteur, 1861 |
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... fortune , mais à leurs œuvres . Il a eu dans la main la plus grande force que la Providence ait remisc dans la main d'un mortel pour créer une civilisation ou une nationalité ; qu'a - t - il laissé ? Une patrie conquise et un nom ...
... fortune , mais à leurs œuvres . Il a eu dans la main la plus grande force que la Providence ait remisc dans la main d'un mortel pour créer une civilisation ou une nationalité ; qu'a - t - il laissé ? Une patrie conquise et un nom ...
Side 18
... fortune . Il avait semblé baisser d'intelligence et d'activité à mesure que son empire s'était agrandi . Séparé des hommes par la cour servile dont il s'était entouré , toujours drapé dans son empire , comme s'il eût eu peur d'oublier ...
... fortune . Il avait semblé baisser d'intelligence et d'activité à mesure que son empire s'était agrandi . Séparé des hommes par la cour servile dont il s'était entouré , toujours drapé dans son empire , comme s'il eût eu peur d'oublier ...
Side 21
... fortune . L'historien le plus prévenu le salue grand dans cet effort suprême pour retenir la fortune qui s'en allait . Il ra- jeunit de dix ans . Son âme engourdie par le trône triompha de l'affaissement de son corps . On ne revit pas ...
... fortune . L'historien le plus prévenu le salue grand dans cet effort suprême pour retenir la fortune qui s'en allait . Il ra- jeunit de dix ans . Son âme engourdie par le trône triompha de l'affaissement de son corps . On ne revit pas ...
Side 24
... fortune . Il y avait un arrière - souvenir de la terreur de 1793 dans le gouvernement de cet homme , qui avait vécu , grandi et pratiqué les hommes de ce temps . Les promptes justices , les cachots , les prisons d'État , les conseils de ...
... fortune . Il y avait un arrière - souvenir de la terreur de 1793 dans le gouvernement de cet homme , qui avait vécu , grandi et pratiqué les hommes de ce temps . Les promptes justices , les cachots , les prisons d'État , les conseils de ...
Side 25
... fortune qui , en s'obstinant ainsi , compromettait leur propre fortune . Ils étaient indécis et mornes . Napoléon savait leurs dispositions par son ministre de la police . Il avait résolu de les étonner par la rudesse de ses aveux et de ...
... fortune qui , en s'obstinant ainsi , compromettait leur propre fortune . Ils étaient indécis et mornes . Napoléon savait leurs dispositions par son ministre de la police . Il avait résolu de les étonner par la rudesse de ses aveux et de ...
Vanlige uttrykk og setninger
allait alliés âme armées armes Autrichiens avaient bataille Blücher Bonaparte Bourbons bruit C'était camp capitale Caulaincourt cent mille hommes Charlot chef cheval cœur commandant comte d'Artois comte de Provence Condé conseil Corps législatif cour crime d'armes dernier devant dévouement dit-il duc d'Enghien Dumouriez ennemis Essonne Ettenheim eût EUVR famille femme fidélité Fontainebleau force fortune frère garde général gloire gouvernement guerre heures jeune Joseph jour l'armée l'avait l'émigration l'empereur Alexandre l'empire l'ennemi l'Europe l'impératrice l'opinion laisser liberté lieutenants Louis XVIII lui-même Macdonald madame de Polastron main maison maréchal Marie-Louise Marmont ment militaire ministre monarchie Mortier n'avait n'était Napo nation négociations nuit officiers paix palais paroles passé patrie pensée peuple Pichegru politique pouvait premier consul prince princesse Prusse Prussiens règne reste reur revers Révolution Rhin route royalistes Russie s'était sang Schwartzenberg Sénat sentiment seul silence soldats sort souverains Talleyrand Thomery tion trône troupes Troyes victoire voiture voix voulait yeux
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Side 180 - Les armées des puissances alliées ont occupé la capitale de la France. Les souverains alliés accueillent le vœu de la nation française. Ils déclarent : Que si les conditions de la paix devaient renfermer de plus fortes garanties lorsqu'il s'agissait d'enchaîner l'ambition de Bonaparte , elles doivent être plus favorables lorsque , par un retour vers un gouvernement sage , la France elle-même offrira l'assurance de ce repos. Les souverains alliés proclament en conséquence : Qu'ils ne traiteront...
Side 245 - Les puissances alliées ayant proclamé que l'empereur Napoléon était le seul obstacle au rétablissement de la paix en Europe, l'empereur Napoléon, fidèle à son serment, déclare qu'il renonce, pour lui et ses héritiers, aux trônes de France et d'Italie, et qu'il n'est aucun sacrifice personnel, même celui de la vie, qu'il ne soit prêt à faire à l'intérêt de la France.
Side 323 - J'ai donc sacrifié tous nos intérêts à ceux de la patrie; je pars. Vous, mes amis, continuez de servir la France. Son bonheur était mon unique pensée; il sera toujours l'objet de mes vœux! Ne plaignez pas mon sort; si j'ai consenti à me survivre, c'est pour servir encore à votre gloire; je veux écrire les grandes choses que nous avons faites ensemble ! Adieu, mes enfants ! Je voudrais vous presser tous sur mon cœur; que j'embrasse au moins votre drapeau!...
Side 181 - Ils reconnaîtront et garantiront la constitution que la nation française se donnera. Ils invitent par conséquent le Sénat à désigner, sur-le-champ, un Gouvernement provisoire qui puisse pourvoir aux besoins de l'administration et à préparer la constitution qui conviendra au peuple français.
Side 383 - J'ignore quels sont les desseins de Dieu sur ma race et sur moi ; mais je connais les obligations qu'il m'a imposées par le rang où il lui a plu de me faire naître.
Side 212 - aucun « impôt, de n'établir aucune taxe qu'en vertu de la loi : de maintenir « l'institution de la Légion d'honneur ; de gouverner dans la seule vue de « l'intérêt, du bonheur et de la gloire du peuple français.
Side 357 - ... moment est proche. Si l'on nous parle de la part de ces gens-là, nous n'écouterons rien; si c'est de la vôtre, nous écouterons, mais nous irons droit notre chemin ; ainsi, si l'on veut que vous nous fassiez dire quelque chose, ne vous gênez pas. Soyez tranquille sur votre sûreté, nous n'existons que pour vous servir nous y travaillons...
Side 408 - SIRE, La lâcheté de votre frère a tout perdu. Il ne pouvait paraître à la côte que pour tout perdre ou tout sauver. Son retour en Angleterre a décidé de notre sort : sous peu, il ne me restera plus qu'à périr inutilement pour votre service.
Side 367 - ... prudence l'expression d'un sentiment que je ne puis plus retenir, à présent que je puis parler moi-même à vos braves compagnons d'armes. Si cette lettre est assez heureuse pour vous parvenir à la veille d'une affaire , donnez pour mot d'ordre St.-Louis ; ralliement, ie Roi et la Régence. Je commencerai à être parmi vous, le jour où mon nom sera associé à un de vos triomphes.
Side 219 - France vient de briser le joug sous lequel elle gémit avec vous depuis tant d'années. — Vous n'avez jamais combattu que pour la patrie ; vous ne pouvez plus combattre que contre elle sous les drapeaux de l'homme qui vous conduit. — Voyez tout ce que vous avez souffert de sa tyrannie; vous étiez naguère un...