Histoire de France: Consulat, Empire, Restauration, Volum 1Lagny frères, 1855 |
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... la France était telle que tout effort tenté dans ce but devait n'être qu'un ébranle- ment et risquait d'être un renouvellement de l'anarchie ; pour le mieux entendre , il va suffire de reprendre 2 HISTOIRE DE FRANCE .
... la France était telle que tout effort tenté dans ce but devait n'être qu'un ébranle- ment et risquait d'être un renouvellement de l'anarchie ; pour le mieux entendre , il va suffire de reprendre 2 HISTOIRE DE FRANCE .
Side 5
... ment la force des conventions humaines , lorsqu'elle est ratifiée par la probité . Toutes ces créations de valeurs n'avaient fait qu'élargir le gouffre où avait péri la fortune de la France . Le Directoire crut sauver l'Etat par un ...
... ment la force des conventions humaines , lorsqu'elle est ratifiée par la probité . Toutes ces créations de valeurs n'avaient fait qu'élargir le gouffre où avait péri la fortune de la France . Le Directoire crut sauver l'Etat par un ...
Side 31
... ment de parti ? Les Jacobins n'auraient - ils pas l'habileté de le dominer par leurs soumissions ou leurs flatteries ? Bar- ras , par un reste d'empire , ne l'entraînerait - il pas dans ses incertitudes ? ou s'il tirait l'épée , ne ...
... ment de parti ? Les Jacobins n'auraient - ils pas l'habileté de le dominer par leurs soumissions ou leurs flatteries ? Bar- ras , par un reste d'empire , ne l'entraînerait - il pas dans ses incertitudes ? ou s'il tirait l'épée , ne ...
Side 32
... ment de toutes les forces militaires de Paris et des envi- rons , ainsi que de la garde législative et directoriale . C'était un coup de dictature qu'on revêtait le mieux possible de légalité . Bonaparte n'avait pas l'air de soupçonner ...
... ment de toutes les forces militaires de Paris et des envi- rons , ainsi que de la garde législative et directoriale . C'était un coup de dictature qu'on revêtait le mieux possible de légalité . Bonaparte n'avait pas l'air de soupçonner ...
Side 35
... ment de toutes les troupes ; une autre résolution le décla- rait consul avec Siéyes et Roger - Ducos ; c'était lui décerner la pleine puissance . Tel fut l'apprêt du 18 brumaire : le reste ne devait pas se dérouler sans péril . Après ...
... ment de toutes les troupes ; une autre résolution le décla- rait consul avec Siéyes et Roger - Ducos ; c'était lui décerner la pleine puissance . Tel fut l'apprêt du 18 brumaire : le reste ne devait pas se dérouler sans péril . Après ...
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Histoire de France: Consulat, Empire, Restauration, Volum 2 Pierre Sébastien Laurentie Uten tilgangsbegrensning - 1855 |
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actes allait alliés âmes Anglais armée armes Autrichiens avaient bataille Bernadotte Bonaparte Bourrienne c'était canon capitulation cent Cinq-Cents combats commandement Concordat conseil des Anciens conseil des Cinq-Cents constitution Corps législatif courage d'armée Davoust déclaration décret désastres desseins devait Directoire disait-il duc d'Enghien éclat ennemis Etats événements évêques force fortune frémissement garde général génie Georges Cadoudal gloire gouvernement Gouvion-St-Cyr guerre hâte Hollande jeter jours Kutuzow l'Angleterre l'archiduc l'armée française l'Autriche l'Église l'Empereur l'Empire l'Espagne l'Europe l'histoire l'Italie laissa Lannes liberté Louis XVIII Lucien lutte maréchal Marmont Masséna mêlée Mém ment mille hommes ministre monarchie Moreau mort Murat n'avait Napo Napoléon nation Oudinot paix Pape paroles patrie pensée périls peuple Pichegru Pie VII politique pouvoir premier consul prince proclamation Prusse Prussiens puissance religion République restait Révolution Rhin Russie s'était semblait Sénat sénatus-consulte sentait serait Siéyes soldats sorte Soult souverain Suchet tion trône victoire Wellington
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Side 408 - Les puissances alliées ayant proclamé que l'empereur Napoléon était le seul obstacle au rétablissement de la paix en Europe, l'empereur Napoléon, fidèle à son serment, déclare qu'il renonce, pour lui et ses héritiers, aux trônes de France et d'Italie, et qu'il n'est aucun sacrifice personnel, même celui de la vie, qu'il ne soit prêt à faire à l'intérêt de la France.
Side 96 - Sainteté déclarera aux titulaires des évêchés français qu'elle attend d'eux, avec une ferme confiance, pour le bien de la paix et de l'unité, toute espèce de sacrifices, même celui de leurs sièges.
Side 179 - L'Empereur, debout , prononça d'une voix forte ces mots : « Soldats , voilà vos drapeaux , ces aigles vous serviront toujours de point de ralliement. Ils seront partout où votre Empereur les jugera nécessaires pour la défense de son trône et de son peuple. Vous jurez de sacrifier votre vie pour les défendre, et de les maintenir constamment par votre courage sur le chemin de la victoire. Vous le jurez! — Nous le jurons !» répondirent les porteurs des aigles , les députations et les troupes...
Side 256 - Vienne , selon l'expression de la députation de ses faubourgs, délaissé, abandonné, veuf, sera l'objet de nos égards : j'en prends les bons habitants sous ma spéciale protection. Quant aux hommes turbulents et méchants , j'en ferai une justice exemplaire. « Soldats! soyons bons pour les pauvres paysans, pour ce bon peuple qui a tant de droits à notre estime; ne conservons aucun orgueil de nos succès ; voyons-y une preuve de cette justice divine qui punit l'ingrat et le parjure.
Side 399 - Il est juste, il est sage, de donner à la France des institutions fortes et libérales, qui soient en rapport avec les lumières actuelles. Mes alliés et moi, nous ne venons que protéger la liberté de vos décisions.
Side 157 - Le gouvernement de la République est confié à un empereur, qui prend le titre d'empereur des Français.
Side 393 - D'indignes Français, des émigrés, auxquels nous avions pardonné, ont arboré la cocarde blanche, et se sont joints à nos ennemis ! Les lâches ! ils recevront le prix de ce nouvel attentat ! Jurons de vaincre ou de mourir, et de faire respecter cette cocarde tricolore, qui, depuis vingt ans, nous trouve...
Side 397 - Le Sénat conservateur, considérant que dans une monarchie constitutionnelle le monarque n'existe qu'en vertu de la constitution ou du pacte social ; « Que Napoléon Bonaparte, pendant quelque temps d'un gouvernement ferme et prudent, avait donné à la nation des sujets de compter, pour l'avenir, sur des actes de sagesse et de justice; mais cfu'ensuite il a déchiré le pacte qui l'unissait au peuple français...
Side 58 - Telle est, Citoyens Directeurs, la situation dans laquelle le général Bonaparte m'a laissé l'énorme fardeau de l'armée d'Orient ; il voyait la crise fatale s'approcher. Vos ordres, sans doute, ne lui ont pas permis de la surmonter.
Side 326 - Le temps est superbe ; les chemins sont beaux ; c-'est le reste de l'automne : ce- temps durera encore huit jours ;; et à cette époque nous serons rendus dans nos nouvelles positions. Dans le combat de Maloiaroslavetz la garde italienne s'est distinguée : elle a pris la position et s'y est maintenue Le général baron Delzons, officier distingué , a été tué de trois balles.