ceux-ci les exigent. C'est au Roi seul qu'on les imputerait, et l'on se rappellerait que Bonaparte lui-même, dans les derniers momens de son dangereux pouvòir, n'a pas du moins manqué de modération. Que répondrait-on encore à cette objection? que le trône devait préserver la France du retour de Bonaparte, au moins autant que la France devait en préserver le trône.

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Enfin voulût-on écarter huit ou dix individus car à peine arriverait-on à ce nombre, on n'a qu'à. attendre quelques instans, ces individus s'éloigneront d'eux-mêmes. Dans tous les cas, des arrestations et des jugemens seraient nécessaires à éviter. La police n'aurait qu'un avis à donner, et le but serait rempli sans détruire la sécurité et sans compromettre la clémence. La France sera pacifiée en un clin d'oeil sous tous les rapports qui peuvent intéresser les souverains; mais elle ne le sera jamais pleinement relativement au repos et au bonheur du Roi, si tout n'est pas oublié, s'il n'y a pas une égale répression de toutes les opinions extrêmes, de quelque hauteur que partent ces opinions, et si tous les partis ne jouissent pas de la protection des lois avec la même certitude et la même confiance.

FIN.

TABLE.

I. Point de Vue. .

II. Comment prétend-on considérer M. Fouché?.
III. Début de M. Fouché sur la scène politique.
IV. M. Fouché élu Représentant du Peuple à la Con-

vention Nationale.

V. Rouge et Blanc, ou les deux Fouché..
VI. M. Fouché Conventionnel.

XI. Cela était-il bien sincère ?

·

chine infernale.
XXII. Disgrace...

VII. Le Diner Conventionnel.

VIII. Mesures fiscales contre les Emigrés. .
IX. Le Représentant du Peuple Fouché ( de Nantes)
à Troyes..

-

X. Mission philosophiste ou philosophes que, dans la

Nièvre..

XIV. 9 Thermidor..
XV. Réaction..

XVI. Correspondances diplomatiques.
XVII. Le Noeud gordien.

XVIII. Sociétés Populaires...

XIX. Administration Philosophique..

XX. Le Ministère de M. Fouché jugé par les passions

et l'esprit de parti..
XXI. Trois Nivôse, ou la machine anglaise, dite Ma-

XXIII. Quelques lettres importantes.

XXIV. Mille huit cent quatorze, selon l'esprit de

parti.

XXV. Fouché et le duc de Wellington.
XXVI. Aveux et confidences d'un politique..
XXVII. Nouveaux documens sur le 20 mars.
XXVIII. La France au 20 juillet 1815..

FIN DE LA TABLE

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